Lorsque les voix du féminin reviennent parler au monde
Il y a des moments dans l’histoire de la Terre où les voiles s’affinent.
Où le visible et l’invisible se frôlent.
Où la mémoire des anciennes s’approche du présent comme une marée lente et douce.
Transmissions Sacrées est née de ces instants-là — de cette écoute des mondes subtils, là où le verbe se fait souffle, où la prière redevient vibration,et où la femme se souvient qu’elle a toujours été la gardienne du vivant.
Ce n’est pas une simple série de livres sur des figures du féminin déjà très connues.
C’est une œuvre vibratoire, un chant continu transmis depuis l’origine, où chaque tome incarne une fréquence du féminin sacré.
Une parole ancienne qui revient, non pour enseigner, mais pour réactiver la conscience du sacré dans la matière.
L’origine du Souffle
Ces textes ne sont pas des écrits, mais des traversées.
Ils se sont présentés à moi comme on reconnaît un battement oublié.
Chaque mot a été reçu, chaque page est une résonance.
Ils appartiennent à ce lieu hors du temps où le féminin se rappelle à lui-même :
créateur, matrice, guide, flamme et gardien du seuil.
Transmissions Sacrées est un pont entre les dimensions.
Un langage du Souffle du Vivant, de la mémoire, du feu et de l’amour.
Ces voix s’adressent à celles et ceux qui sentent la fatigue du monde, mais qui refusent d’abandonner la beauté.
Elles rappellent que nous pouvons encore vivre en accord avec la Terre, avec le corps, avec la vibration du juste et du vrai.
Les cinq familles vibratoires
Chaque tome est une porte vers une lignée d’énergie.
Chaque figure féminine porte une mémoire, une couleur, un feu particulier.
Ensemble, elles forment une cartographie du féminin universel, qui traverse les âges, les cultures, les mythes.
I. Les Messages du Verbe et du Souffle — L’appel du mot créateur
Ici, tout commence par la voix.
Le verbe n’est plus intellect : il devient vibration, onde et mémoire.
Ces figures enseignent le pouvoir du mot juste, celui qui unit, qui bénit, qui guérit sans envahir.
Marie-Madeleine ouvre le cycle :
elle incarne l’amour vivant, la parole incarnée, la tendresse qui descend dans la chair.
Par elle, la lumière devient tactile.
Son message parle de réconciliation entre le corps et l’esprit, de la foi rendue à la vie elle-même.
Sophia, la sagesse cosmique, est le Souffle du Tout.
Elle enseigne la connaissance qui unit plutôt qu’elle ne sépare, la clarté qui ne juge pas, la vision qui éclaire sans brûler.
Saraswati, muse de l’écriture et de la musique, invite à purifier le verbe pour en faire un canal limpide.
Chez elle, l’inspiration est un courant d’eau claire, qui rend les mots transparents à la lumière divine.
Eurydice, la voix retrouvée, parle de renaissance.
Elle incarne la femme qui ose de nouveau dire, chanter, même après avoir connu le silence ou l’effacement.
Son message : la parole vraie est un acte d’amour envers la vie.
II. Les Messages du Feu et de la Transformation — La flamme du vivant
Ces figures portent le feu qui brûle le mensonge, le feu qui purifie sans détruire.
Elles réveillent le courage, la puissance, la joie incarnée.
Sékhmet, lionne solaire, est la gardienne du feu juste.
Son énergie tranche et libère.
Elle invite à brûler les illusions pour révéler la force vitale, à transformer la colère en moteur d’action consciente.
Vesta, la gardienne du foyer sacré,porte la flamme intérieure, la chaleur du centre.
Elle enseigne la constance, la dévotion au quotidien, et l’art de faire du simple un espace sacré.
Hathor est la joie du monde.
La beauté, la danse, la sensualité qui guérissent.
Sa médecine est celle du plaisir retrouvé, de la célébration du corps comme temple du divin.
Isis, la grande magicienne du verbe créateur, unit les mondes visibles et invisibles.
Elle rappelle la souveraineté du féminin : celle qui enfante la lumière par la conscience.
III. Les Messages des Ombres et des Passages — La sagesse de la descente
Elles sont les initiatrices du seuil, celles qui descendent pour renaître, qui plongent dans les profondeurs pour y cueillir la vérité.
Inanna enseigne la chute sacrée.
Elle dépouille, couche après couche, jusqu’à ce que le cœur nu puisse battre sans masque.
Ereshkigal, sa sœur des enfers, est le miroir de l’ombre.
Elle montre le visage cru de nos vérités intérieures, et offre la rédemption à travers l’acceptation totale de soi.
Perséphone porte la mémoire du cycle.
Elle unit la jeune pousse et la graine enfouie, et nous rappelle que toute mort contient déjà la promesse du retour.
Ariane, tisseuse du fil d’or, nous guide dans nos labyrinthes intérieurs.
Son énergie est celle de la guidance intérieure, celle qui sait retrouver la sortie par l’amour et la conscience.
IV. Les Messages du Mystère et de la Magie — Les gardiennes du seuil
Elles incarnent le féminin sauvage, instinctif, indompté.
Elles ne se montrent qu’à celles qui osent les rencontrer dans la brume.
Morgane, magicienne des brumes, enseigne la métamorphose, l’art de déplacer les lignes.
Son pouvoir est celui de la transformation silencieuse.
Hécate, gardienne des carrefours, porte la torche du discernement.
Elle éclaire la route des âmes perdues,rappelle que chaque choix est un acte sacré.
Aradia, fille de la liberté,rappelle que la magie appartient au peuple, que la foi ne se mendie pas, elle se vit.
Elle incarne la désobéissance consciente : celle du cœur libre.
Circé, alchimiste des formes, enseigne que toute transformation commence par l’accueil de ce qui est.
Elle transmute sans effort : son secret est la présence.
Baba Yaga, la vieille de la forêt, initie par la rudesse et la vérité.
Elle offre la sagesse de l’instinct, celle qui dépouille les illusions pour rendre à la femme sa clairvoyance.
V. Les Messages du Ciel et de l’Équilibre — La lumière du juste
Elles portent la clarté, l’harmonie, la justice divine.
Elles unissent le haut et le bas, le visible et l’invisible.
Astraea, la vierge d’étoiles, incarne la droiture du cœur.
Elle est l’équilibre cosmique, celle qui restaure l’ordre là où le chaos a trop duré.
Shekinah, la présence divine dans la matière, réunit le ciel et la terre dans un même souffle.
Elle rappelle que la lumière n’est pas ailleurs — elle est ici, en nous.
Notre-Dame, la mère universelle, est la compassion silencieuse qui soutient le monde.
Son enseignement est celui du service invisible, de la foi simple qui répare sans bruit.
Une œuvre rythmée par la respiration du monde
Deux tomes paraissent chaque année, alignés aux solstices et équinoxes —
lorsque la Terre inspire ou expire profondément.
Chaque livre est une fréquence saisonnière.
Une invitation à changer de rythme, à écouter les cycles,
à respirer avec la planète plutôt qu’à lutter contre elle.
Car lire ces textes, c’est déjà s’accorder au vivant.
C’est s’ouvrir à un autre tempo — celui de l’âme.
Une lecture initiatique
Les Transmissions Sacrées ne sont pas à lire d’un trait.
Elles se feuillettent comme on entre dans un temple.
Elles appellent la lenteur, le silence, l’intime.
Elles se glissent dans les moments de seuil : veille, aube, pleine lune, solstice.
Chaque mot agit comme un code,chaque paragraphe ouvre un portail de conscience.
Ces textes parlent à la femme qui se souvient, au cœur qui s’éveille, à l’âme qui cherche son souffle.
🕯️ Une invitation à te souvenir
« Tu n’as rien à apprendre,
tu as seulement à te rappeler.
La lumière que tu cherches n’est pas au-dehors :
elle attend patiemment dans ta chair,
que tu lui redonnes ton nom. »
Transmissions Sacrées est un pont entre les ères.
Une offrande de mémoire pour les femmes et hommes du nouveau monde,celles et ceux qui pressentent qu’un nouveau cycle commence.
Découvre le premier tome
👉 Marie-Madeleine — Messages aux femmes de la Terre
Et laisse sa voix reconnaître la tienne.


